undefined

 L'officier d'un sous marin russe qui a refus

   de déclencher un conflit nucléaire. Vasili Arkhipov

   Avait-il sans doute une formation humaniste et

         non seulement d'ingénieur.

L'ÊTRE OU ....    

"Il me semble que la plupart des leaders d'origine du Québec Inc étaient issus du cours classique qui avait sans doute quelques lacunes pratico-pratiques mais dont le tronc commun des humanités avait l'avantage d'établir des liens de solidarité entre collègues, liens qui sont restés tout au long de leur vie professionnelle. Je crois aussi que ce qui transcendait dans le message éducatif véhiculé tout le long de leur formation était la nécessité de s'engager socialement afin que ces futurs citoyens redonnent à la société une partie du même effort collectif qu'ils leur ont permis de se faire instruire. Je crois qu'à chaque jour de leur formation il y avait quelqu'un pour leur rappeler que pendant qu'ils étaient assis sur un banc d'école il y avait pas seulement leurs parents mais aussi toute une communauté humaine qui travaillait et qui a travaillé très dure pour qu'ils aient le privilège de se faire instruire. C'était une époque où l'engagement social et le don de soi n'apparaissaient pas comme incompatible avec l'émancipation de chaque individu.
Jacques Tremblay
Sainte-Luce, Qc"

 

L'AVOIR:    

"« Oh Boy ! ».

Premièrement, l’école ne reflète même pas la réalité quotidienne des gens. J’ai travaillé dans le milieu du monde du travail et je travaille présentement en éducation et le système éducationnel n’est pas représentatif de la réalité. Le monde éducationnel est peuplé d’utopie des plus extrêmes et des plus bizarres.

Il n’y a aucune réduction du politique à l’économique en éducation. Est-ce qu’il faudrait rappeler à nos idéalistes de gauche que pour un ingénieur, il doit se faire former en milieu de travail au moins quatre ans avant de pouvoir s’intégrer complètement ? La réalité, il n’y a pas de clientélisme en éducation parce que nos diplômés doivent revenir en temps réel et dans le vrai monde afin de pouvoir contribuer activement au mieux-être des autres.

Le collectif, sans l’apport de l’individu, n’équivaut à rien. Notre collectivité profite des avancements scientifiques mises en place dans le quotidien des gens par la technologie. J’imagine qu’il y a beaucoup de penseurs en Afrique et s’est à se demander pourquoi tous ces gens ne pensent qu’à immigrer à l’Ouest.

Il n’y a pas si longtemps, les philosophes n’étaient pas seulement des penseurs utopiques, mais ils étaient aussi ancrés dans le monde naturel. Prenez tous les philosophes comme Descartes, Da Vinci et autres en ajoutant ceux de la Renaissance et du siècle des Lumières, et vous comprenez vite. Aujourd’hui, nos philosophes à la Charles Taylor ou Gérard Bouchard ne comprennent absolument rien à une équation mathématique. Ils nous donnent du radotage démagogique asymétrique peuplé de sophismes tout simplement.

Si l’Occident est l’Occident,

c’est parce que certains ont pu voir plus loin en étant sur les épaules de géants. Les géants ne sont pas dans le monde utopique de l’éducation, mais sont en train de transformer notre monde naturel, et ceci, pour le meilleur ou pour le pire. L’école comme on la connaît, risque de disparaître bientôt."  

(Ce monsieur semble prendre les géants pour ceux qui ont fait des "affaiiiiires", de la business. Ceux qui connaissent le tabac et qui NOUS AMÈNENT VERS LA DESTRUCTION TOTALE.)

Un changement de culture chez nos penseurs de l'éducation.

M. Desjardins aborde ici les vrais enjeux.
Mais il y aura fort à faire pour détricoter la culture des apôtres de la littératie, de la numératie et des approches principielles en éducation.
En effet, leur conception est non seulement répendue mais elle se retrouve trop souvent entre les mains de fonctionnaires décideurs à qui l'on confie des pouvoirs importants.
Pour eux "tous les élèves ont le privilège de s'épanouir selon leurs besoins" dans une école dont l'étalon de mesure repose sur les épreuves aux tests Un changement de culture chez nos penseurs de l'éducation.
M. Desjardins aborde ici les vrais enjeux.
Mais il y aura fort à faire pour détricoter la culture des apôtres de la littératie, de la numératie et des approches principielles en éducation.
En effet, leur conception est non seulement répendue mais elle se retrouve trop souvent entre les mains de fonctionnaires décideurs à qui l'on confie des pouvoirs importants.
Pour eux "tous les élèves ont le privilège de s'épanouir selon leurs besoins" dans une école dont l'étalon de mesure repose sur les épreuves aux tests Pica et Peica. Ces cenceurs qui poursuivent les "analphabètes fonctionnels" de leurs ardeurs policières risquent d'y perdre pas mal de clients.
Dans les humanités comme dans les Arts, les élèves "peuvent raffiner leurs plaisirs". Il ne faut pas leurs en demander plus, encore moins dans cette formation où sévissent des renouveaux pédagogiques à la chaîne sans vision du citoyen que l'on prétend vouloir former.. Ces cenceurs qui poursuivent les "analphabètes fonctionnels" de leurs ardeurs policières risquent d'y perdre pas mal de clients.
Dans les humanités comme dans les Arts, les élèves "peuvent raffiner leurs plaisirs". Il ne faut pas leurs en demander plus, encore moins dans cette formation où sévissent des renouveaux pédagogiques à la chaîne sans vision du citoyen que l'on prétend vouloir former.